JE N’ARRIVE PAS À ME DÉCIDER ET À ME MOTIVER
La question est de savoir ce qui est le plus dur pour vous, souffrir parce que vous êtes mal dans votre peau (ce qui de toute façon, ne changera pas si vous ne faites rien), trop enrobé, trop mou, ou souffrir parce que vous n’arrivez pas à prendre LA décision de vous reprendre en main et retrouver la santé ? Choisissez d’avoir « mal » pour être bien, ça vaut largement le coup! Et au final, vous ne souffrirez plus… non pas parce que vous serez morts (!) mais parce que vous aurez ajouté des années de « qualité » à votre vie.
JE N’AI PAS LE TEMPS
Sans blague ! La semaine compte quand même 168 heures ! Même en étant hyper accaparé par sa vie familiale, sociale ou professionnelle, ne me dites pas que vous ne pouvez pas trouver de 3 à 6 h/semaine pour vous occuper de vous, de votre forme et de vos formes ! Quand on veut, on trouve toujours un horaire ou des disponibilités. S’il le faut à 5 h du matin ou 22 h, le midi ou à la place de faire des courses (faites-les en ligne !). C’est toujours possible, à domicile évidemment, et si on ne dort pas 9 h/nuit…
JE SUIS TOUJOURS FATIGUÉ, SANS FORCE
Là aussi, 2 questions : est-ce de la fatigue car vous êtes surmenés, malades, ou est-ce un manque d’organisation, un trop plein de stress ou un début de déprime devant l’image que vous renvoie votre miroir ? Dans le premier cas il serait bon de faire un bilan de santé, dans l’autre, sans doute équilibrer son alimentation, arrêter de bouffer le goûter de vos (grands) enfants, commencer une activité physique, faire le plein de vitamines et positiver. Les deux cas étant liés…
JE N’AI PAS DE PLACE CHEZ MOI
Je comprends que cela puisse poser problème, sauf que même dans 5 m², on peut s’entraîner. Il faudra juste un peu jongler avec les poids, le banc et autre barre mais c’est tout à fait possible (on touche pas les murs car on tend jamais les bras !) ! Au pire, enlever un meuble de la chambre, bouger le billard du salon ou garer la voiture dehors, mais tout le monde doit trouver son petit espace dédié à la musculation. Vous verrez rapidement que vous avez plus de place chez vous que dans une salle… surtout aux heures de pointe.
JE N’AI PAS LES MOYENS
À partir du moment où l’on peut déjà bien s’entraîner avec une paire d’haltères, une barre et un banc tout simple (même une chaise solide !), on a le matériel de base pour débuter. Après il sera facile d’augmenter sa « petite » salle et de la compléter avec différents accessoires. Quelques dizaines d’euros pour se transformer et retrouver la pleine forme, c’est bien moins cher que tous les médocs et visites chez le médecin qui prendront votre temps – et vos sous – de novembre au printemps suivant… Et vous investissez pour la « vie ».
JE N’AIME PAS LE SPORT, JE SUIS PARESSEUX
Plutôt le deuxième que le premier non ? Si vous n’aimez pas le sport, vous aimez peut-être danser, marcher, faire des abdos etc… Bouger c’est déjà faire du sport… et oublier un peu la paresse, parce que cette dernière doit atteindre tous les domaines de votre vie et vous la rendre bien morne ! Maintenant il y a sport et sport, par exemple, se remettre au tennis à 50 ans après 25 ans d’arrêt est le plus sûr moyen de se déglinguer le corps ! Encore une fois, la musculation dosée, adaptée et contrôlée est le seul sport efficace et complet que l’on peut commencer à tout âge et sans aptitudes spéciales. Et avec des supers résultats !
JE NE PENSE NI À MA SANTÉ NI À L’AVENIR
Peut-être parce que tout va bien… pour l’instant. Mais je doute fort que quinquagénaire, vous soyez arrivé jusqu’à maintenant sans douleurs articulaires, mal de dos et autres problèmes à cause des « cochonneries » que vous avez respiré toutes ces années. Donc, comme précise le dicton, « il vaut mieux prévenir que guérir », car on se remet de moins en moins vite et bien de nos soucis de santé et blessures diverses. Et ce n’est pas une raison pour ne rien faire du tout… Alors encore une fois, prenez les devants, profitez du bilan offert par la Sécu (pour une fois qu’on nous offre quelque chose !), bougez vous !
JE SUIS TROP GROS, JE NE PEUX PAS FAIRE D’EFFORT
Vous n’en êtes pas encore à ce point si ?! Le but est évidemment de perdre cette (ces) bouée(s) qui vous empoisonne(nt) la vie. Parce que franchement les poignées d’amour ne plaisent qu’à votre femme (que je soupçonne de vous aimer ainsi uniquement pour vous garder près d’elle !)… Sachez qu’il est facile (avec des efforts réguliers) même sans aptitudes particulières, de retrouver allant, énergie et regonfler son capital séduction. On n’imagine pas combien le degré d’estime de soi (et donc du moral) est inversement proportionnel aux quelques kilos perdus…
JE NE VEUX PAS FAIRE DE LA « GONFLETTE »
Toujours ce vieux cliché ! Depuis quand les muscles gonflent à l’hélium ?! Les fibres musculaires répondent à une sollicitation progressive par les poids, les mouvements et le repos (et oui les muscles grossissent la nuit et les jours de repos !). Et oubliez les culturistes que vous connaissez sûrement, ou encore ces acteurs dopés pour les besoins de leur dernier film d’action. Notre taux hormonal diminue, notre force s’amenuise mais rien n’empêche d’obtenir après quelques mois, une musculature plus ferme et déliée… sans ressembler à un ballon !
J’AIME TROP LA « BONNE » BOUFFE
Qu’appelez-vous « bonne » bouffe ?! Vous ne pensez quand même pas que vos weekends barbocs, picole, fondue savoyarde, charcutaille lyonnaise et autres excès en tout genre vont vous aider à vous sentir bien ? Non… sinon vous ne liriez pas ce chapitre… Se sentir bien sur le « coup » pour regretter votre « déchéance » dans les mois ou années qui suivent, ce n’est pas la meilleure façon de se préparer une vieillesse heureuse et pleine de vitalité ! Au mieux une dizaine de centimètres de tour de taille en plus et des années de bien-être en moins…
Toutes ces excuses qui aujourd’hui vous bloquent ont une solution et vous savez maintenant comment y remédier…
Offrez-vous un conseiller en forme et bien-être !
Rm Clls